Initié par les technologies propres ou clean techs, le green business gagne du terrain auprès de plusieurs entités. Je vous invite à mieux cerner les essentiels de ce concept.
Economie et environnement associés
L’Amérique mise sur davantage d’économie verte pour une économie plus respectueuse de la nature. Par la suite, les européens et les asiatiques lui ont emboîté le pas en s’attachant à rendre les pans de l’économie beaucoup plus verte.
Plusieurs enseignes ont investi dans ce secteur phare. Les énergies renouvelables sont devenues le fer de lance des multinationales comme le solaire chez l’allemand Q-Cells, l’éolien chez le danois Vestas.
Quant au français Veolia et l’américain Waste management, ils tablent sur le traitement des déchets.
L’écologie auprès des leaders
Les gros investisseurs suivent le pas. Cela concerne notamment Bill Gates qui penche pour le biocarburant.
Le fondateur d’Ikea Ingvar Kamprad ne jure que par la géothermie. Serge Dassault œuvre pour l’expansion des véhicules électriques.
La part des start-up
Les adeptes du capital risque ne sont pas en reste. Il faut inclure les 15 milliards de dollars investis en 5 ans par les européens, les californiens et les israéliens.
Les jeunes pousses comme Better Place de Shaï Agassi, Tesla Motors d’Elon Musk figurent parmi les plus connus pour populariser la voiture électrique.
Les enjeux économiques
Certes, la sensibilisation sur l’intensification de la lutte contre le réchauffement climatique porte ses fruits. Toutefois, la guerre en Ukraine et la hausse des coûts énergétiques a accéléré le mouvement.
Les énergies renouvelables comme l’éolien, le solaire et le biocarburant atteignent péniblement 15 % des besoins de la planète. La relance du nucléaire civil est une option à plus grande échelle.
Il est clair que les centrales atomiques font appel à une grande quantité d’eau et génèrent des déchets ultra-toxiques. Néanmoins, aucun rejet de CO² n’est enregistré.
Le nucléaire civil figure dans la liste du green business.
Les solutions du futur
Un groupement de sidérurgistes a mis au point la capture de carbone des cheminées d’usine et de centrales thermiques. Le carbone est enfoui au fond de mines désaffectés ou des champs pétroliers délaissés.
L’économie d’énergie passe par plus d’isolation des bâtiments, la gestion intelligente des ressources, la réduction des transports. Quant à Google, il teste le recours à l’eau de mer pour le refroidissement de serveurs en installant des centres de données sur des barges au large des côtes.
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Crédit Photo : okcredit.in/blog & thebftonline.com